CHEVAL-COQ FILLE ⚧️ ⚧️

Amy se réveilla, surprise par le son strident de son alarme. Elle se réinstalla dans son oreiller et regarda de côté son horloge. En lisant l'affichage numérique, elle s'assit comme un boulon.

« 8h30 ? Merde, je vais être si en retard !

Amy a sauté du lit et s'est habillée aussi vite qu'elle le pouvait avec son jean et une chemise à manches longues. Dès qu'elle fut décente, elle se précipita dans la cuisine et attrapa une banane et une pomme pour le petit déjeuner. Elle devrait sauter le café et les céréales habituels si elle voulait arriver à l'heure à l'université.

Elle s'est précipitée sur la route jusqu'à son arrêt de bus juste au moment où le bus arrivait. Elle s'assit à l'arrière du bus une fois qu'elle eut payé sa course et commença à engloutir ses fruits comme si elle n'avait pas mangé depuis des semaines.

La raison pour laquelle Amy était si inquiète d'être en retard aujourd'hui, de tous les jours, était que sa classe partait en voyage dans un laboratoire scientifique. Elle avait toujours aimé la science, en particulier la médecine légale, alors à l'université, elle avait suivi le cours qui lui avait donné la formation scientifique la plus large possible.

Le trajet durait une demi-heure en bus et une course de 2 minutes pour s'arrêter à la porte du collège où sa classe montait dans un autocar pour le trajet de 2 heures jusqu'au laboratoire qu'ils visitaient.

« Amy ! » dit son tuteur. "Juste à temps. Nous allions partir sans toi."

"Désolé Andrew," dit-elle. "Je n'ai toujours pas l'habitude de vivre seule."

"Peu importe. Mets tes fesses dans le car ou nous serons tous en retard là-bas."

Amy sourit et monta dans le car, s'asseyant à côté de sa meilleure amie, Lucy.

Amy avait quitté la maison il y a 3 mois pour vivre seule dans un appartement. Elle avait dû prendre un travail à temps partiel pour payer le loyer, mais le propriétaire était, heureusement, très compréhensif. Elle était également reconnaissante que l'université soit beaucoup plus détendue que l'école secondaire. Les tuteurs comprenaient pourquoi elle était toujours en retard et lui parlaient toujours comme si elle était une adulte et non une vilaine enfant.